Belle Delphine, née Mary-Belle Kirschner (en 1999) est une « mannequin » britannique qui est devenue célèbre pour s’être créé toute une cour internationale d’hommes herbivores – paillassons, par le biais d’Instagram et d’autres médias sociaux salaces (le sommet de sa carrière était la vente en ligne de l’eau de la baignoire dans laquelle elle se baignait, « GamerGirl Bath Water », pour des dizaines de dollars la bouteille).
Représentation plastique, épistémique et iconique de la dégénérescence, elle est de retour pour faire parler d’elle après avoir tourné un porno dans lequel elle se fait kidnapper et sodomiser dans les bois : vous pouvez en voir un aperçu sur Twitter (attention, car ce sont des images explicites : le réseau social, étant un repaire de dégénérés, admet bien sûr la pornographie).
Les féministes femmes – et les féministes en général – insistent : « Beaucoup d’hommes vont penser que tout cela est normal ». En effet, en voyant les « hommes » qui la suivent, morts de faim, qui paient parce qu’ils sont convaincus qu’une célébrité engagée dans un acte de fétichisme avec une pieuvre morte (et qui d’ailleurs après vingt ans, ressemble encore à une fille de douze ans) est amoureuse d’eux, une certaine crainte se fait jour.